Selon la Caisse des dépôts et de l'Association pour l'économie numérique (autrement dit, l’ACSEL), une étude – datant de mars 2015 auprès de 1000 internautes - montrerait que les Français (...)
Impact sur le contexte économique, parts d'achats envisagées, progression d'achat... dans les prochains mois
Article publié le 16/02/2015 par Gaël dans la catégorie Actualité web et technologies. Cet article a été modifé le 07/02/2021.
Une étude réalisée par l’institut CSA via le baromètre Fevad, sur base d’un millier d’e-acheteurs français lors de leurs achats de Noël 2014, offre plusieurs perspectives liées au e-commerce de l’année 2015 qui vient de débuter. Outre une augmentation généralisée, cela va vous permettre de voir quelles seront très certainement les habitudes futures de vos contemporains mais permettra également, éventuellement, d’investir dans un des domaines en vogue. Une chose est certaine : l’e-commerce se développe encore et toujours.
Malgré un contexte économique que l’on qualifiera toujours de délicat, six personnes sur dix pensent que cela n’affectera pas leurs habitudes de consommation en ligne en 2015. Mieux encore, un peu moins de deux personnes sur dix (18%) pensent qu’un contexte défavorable les incitera davantage à consommer sur le Web de par l’acharnement permanant des e-vendeurs à proposer des prix ultra attractifs.
On dit que presque tous les e-acheteurs (environ 90%) envisageront d’acheter autant voire plus qu’en 2014. En détail, cela donne : 16% envisageront d’acheter une plus grande part en 2015 qu’en 2014 et 74% envisageront d’acheter la même part que l’année précédente. Aux niveaux des secteurs bénéficiant d’un attrait tout particulier, nous avons, dans l’ordre : l’habillement (et donc la mode), à hauteur de 61%, le champ culturel, pour 54%, le tourisme, pour 42% des votants, et les produits high-tech et l’électroménager, pour 38%.
Quel sera le pourcentage d’achats réalisés par le biais d’un smartphone en 2015 ? La tendance progressera mais n’explosera pas pour autant. On passera, de façon générale, de 13 à 14% d’achats réalisés par smartphone. Le produit numéro un sera toujours le tourisme et les transports (billets de train, réservation d’hôtel ou d’avion), etc. Cela parait plus que logique de par la mobilité de la chose. S’en suit, tout de même, l’habillement (passant de 40 à 42%) mais aussi les biens culturels et les billets de spectacle. On explique cette hausse de ce que l’on appelle le « m-commerce » grâce à la popularisation des forfaits 4G et des terminaux à grands écrans.
Si la prospection est à la hausse régulière, on notera également que des tendances se dégagent. Notons, par exemple, les objets connectés, dont les utilisateurs sont encore assez méfiants, mais qui devront se développer davantage en 2015. En outre, les e-acheteurs ont un réel engouement pour la consommation collaborative (qui modifie grandement la façon dont on consomme aujourd’hui) ainsi que dans l’achat en vente direct (soit le minimalisme au niveau des intermédiaires de vente).
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